Je ne me substitue plus à la personne qui me demande de l’aide. Je lui fournis des pistes, un délai quand c’est nécessaire et laisse ma porte ouverte pour discussion. Je sais également que je dois prendre le temps de faire participer la majorité des parties prenantes lorsque je lance un projet (qu’est-ce qui te plait ou non dans le changement / le non changement ?).
Sans utiliser le « cadre » ou les outils vus, dans la formation en management humaniste, dans le bon ordre et dans leur intégralité, je pense que d’office, je réorientais les discussions vers les faits établis et validés par toutes les parties. J’étais assez imperméable à la partie émotionnelle. Cela me coûtait du temps et parfois de l’énervement. Aujourd’hui, je remarque plus vite les comportements, les volontés, les envies des personnes devant moi. Je pense choisir mieux mes mots également. Je dois continuer à travailleur sur le « je ne dois pas en faire une affaire personnelle» pour bien couper en fin de journée entre le professionnel et le privé.
Ce n’est pas simple de résumé l’apport de zen’to à une seule grande qualité. Je dirai « interactivé de groupe » tout en mettant juste à côté : expérience + anecdotes, puits de connaissance, simplicité, souplesse par rapport aux besoins des élèves et une belle capacité de mettre à l’aise les personnes qui n’ont pas forcément envie de raconter leurs problèmes devant d’autres.